Ces
actes terroristes, par leur cruauté extrême, semblent
avoir des points communs avec ceux de tueurs en série. En
effet, jouissant de leurs crimes, ne vivant que pour la
mort des autres et au nom d’une mission ténébreuse,
leurs actes sont sadiques.
Ce sont des
« sado-terroristes ».
Nos services
publics de sécurité doivent répondre à ces criminels
extrêmes avec déontologie, certes, mais sans aucun
état d’âme.
Pour cela,
les effectifs doivent être augmentés, l’armement mieux
adapté et des structures nouvelles doivent être
instaurées et orientées vers l’efficacité
opérationnel |